vendredi 16 mai 2014

Spoliation des Terres en Kabylie La gendarmerie algérienne harcèle la famille Azem

Ajoutée le 20 déc. 2013
Slimane Azem - Le Maître de la chanson kabyle vol. 5
Club du Disque Arabe - AAA 191 - P. 2001 Les Chansons: 1. IDHARED OUAGOUR 05:51 2. LAHBAB ELOUAKTHA 4:49 3. MOHAND Oukaci 4:57 4. AMA OUYAK AHMED 5:04 5. Ezman ENGHATI 5:01 6. CHFIGH TSOUGH 4:53 7. ATTAS ISSEVRAGH 5:33 8. KHEM AKOUDHNEK 5:45 9. NANAS Yaour CHAH 4:44 10. SI MOH YENNAD 11:06




La Rédaction
This foie C'EST le personnage le plus de vomi de la commune, comprenez le maire RND Dont l'APC intérêt en banqueroute, Qui a pri Le Relais Des gendarmes, en portante Plainte Contre les Azem, Coupables d'Après Lui, d'Avoir Nna Hadjila enterré sur la Terre de Ses ancêtres. Rien que cela._CS_SANS_GLOSSAIRE
13/05/2014 - 16:28 Mis à jour le 14/05/2014 - 00:06 par La Rédaction 
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Après 2001 et les Assassinats d'enfants, Année Dernière la gendarmerie algérienne N'en un pas fini Avec la Kabylie.L », la sœur de Slimane Azem, décédée le 25 juin 2013, was enterrée sur les Terres familiales à Agouni Gueghrane. Sur soi souvient de la polémique redingote Qui s'en intérêt SUIVIE. En Effet, Le Pouvoir infâme voulait Tout simplement récuperer les Terres de la famille Azem AFIN d'y installer juin caserne de gendarmerie. Maïs Face à la Persévérence de la population, l'enterrement d'une unité centrale se faire.
Après de ANNEE UNE, la population d'Agouni Gueghrane soi visage à une Évidence réveille: le Régime d'Alger coloniale A De La Suite Dans Les Idées. Les villageois N'en Ont Pas fini Avec les conséquences de Leur entêtement et Leur refusant d'y héberger juin caserne.
This foie C'EST le personnage le plus de vomi de la commune, comprenez le maire RND Dont l'APC intérêt en banqueroute, Qui a pri Le Relais Des gendarmes, en portante Plainte Contre les Azem, Coupables d'Après Lui, d'Avoir Nna Hadjila enterré sur la Terre de Ses ancêtres. Rien que CELA.
Etant Donné Que le village Projette de rapatrier Dans Un Avenir proche la dépouille du poète Slimane Azem Verser l'enterrer "lui", de chez Au Même Endroit Qué sa soeur, le maire coloniales Veut FAIRE D'Une pierre coups de deux, C'est-à-dire empecher le rapatriement de la dépouille du poète, et Faire CADEAU des Terres de la famille Azem-aux forces coloniales AFIN d'y implanter "sa" caserne de gendarmerie.
Affaire à Suivre
Ecoutez CE vibrent Slimane Azem hommage à, icône kabyle de 
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La gendarmerie algérienne harcèle la famille Azem

l'exil
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Sortie du film de Belkacem Hadjadj sur l’histoire de Fafhma N’soumer

Sortie du film de Belkacem Hadjadj sur l’histoire de Fafhma N’soumer
Un véritable massacre de la langue kabyle a été fait par ces acteurs, sous la direction de Belkacem Hadjadj. Ce fait n’est pas fortuit, dans la mesure où le pays kabyle foisonne d’acteurs et d'actrices pétris de talents. Cela sans parler des costumes utilisés, qui ressemblent beaucoup plus à ceux des talibans, qu’aux habits des Kabyles. _CS_SANS_GLOSSAIRE
16/05/2014 - 15:35 mis a jour le 16/05/2014 - 15:35 par Amenay A
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Le réalisateur kabyle, Belkacem Hadjadj vient de présenter, cette semaine, son nouveau film intitulé « Fadhma N’soumer, Avernous yerɣan ». C’est un long métrage qui retrace, de manière aléatoire le parcours de l’héroïne kabyle, Fadhma N’soumer, surnommé par l’armée française la Jeanne d’Arc d’Afrique pour son courage et son héroïsme. Le film en question est tourné en langue « Kabyle cassée ». Ce qui n’étonne pas quand on sait que c’est le pouvoir dictatorial d’Alger qui a financé ce film. Un pouvoir qui fait tout pour anéantir la culture kabyle, et faire oublier ses héros et héroïnes.
D’ailleurs, la séance de présentation en avant-première de cette « œuvre » cinématographique est présentée, non pas en Kabylie, mais plutôt à Alger ! Cela dans le but, non pas d’être vue et appréciée comme une œuvre cinématographique, mais plutôt d’être contrôlée par ces « sombres » bailleurs de fonds, détenteurs de la dictature algérienne.
Belkacem Hadjadj a bien été félicité à cette occasion, dans la mesure où il a réussi à avoir mis sur grand écran une héroïne kabyle pour diminuer de sa valeur, et tirer au passage sur le Peuple kabyles et son histoire, jalonnées de faits héroïques. La presse raciste algérienne n’a pas manqué l’occasion de se réjouir également. Le petit journaleux d’El Watan, Fayçal Métaoui, n’a retenu de ce film que « Le courage de Belkacem Hadjadj, dans Fadhma N’soumer de filmer la trahison de certaines tribus de Kabylie » avait-il écrit dans son article intitulé « Au delà de la légende, le courage et la trahison ». Une manière des plus sournoise d’afficher son anti-kabylisme, mais la brèche est ouverte par Hadjadj, après avoir été gavé d’argent par la sombre AARC (agence algérienne de rayonnement culturel).
Un autre fait qui soulève la curiosité, c’est le penchant, pour le moins que l’on puisse dire curieux du réalisateur Belkacem Hadjadj de solliciter des actrices et acteurs étrangers complètement inconnus pour incarner les premiers rôles dans ses films en langue kabyle. 
C’est également le cas dans son long métrage « Machahu », où une actrice arabe avait joué le premier rôle, et c’est également le cas de ce nouveau film sur Fadhma N’soumer, dont le rôle principal est joué par une actrice franco-libanaise, appelée Laetitia Eido, et de Assaâd Bouab acteur arabe, franco-marocain pour interpréter le rôle de Boubaghla. 
Un véritable massacre de la langue kabyle a été fait par ces acteurs, sous la direction de Belkacem Hadjadj. Ce fait n’est pas fortuit, dans la mesure où le pays kabyle foisonne d’acteurs et d’actrices pétris de talents. Cela sans parler des costumes utilisés, qui ressemblent beaucoup plus à ceux des talibans, qu’aux habits des Kabyles.
Les deux défunts, Azzdine Meddour, et Abdenrahmane Bouguermouh, deux monuments du cinéma Amazigh en savent quelque chose, contrairement à Hadjadj ! Cela pour avoir tourné leurs films en Kabylie, en langue kabyle parfaite, et avec des talentueux acteurs et actrices kabyles. Des acteurs et actrices qui font également le bonheur des grandes productions cinématographiques internationales. Mais tout cela, Belkacem Hadjadj ne le voit pas, quand il est aveuglé par les budgets faramineux du système dictatorial d’Alger, qui cherche vainement à diminuer la grandeur du Pays kabyle quand il n’arrive pas à le soumettre. L’affaire du monumental film de feu Abderahmane Bouguermouh, « La Colline Oubliée » doit servir de cas d’école pour tous les cinéastes guidés par l’honneur et les principes, non pas par les budgets.
Notons enfin que le pouvoir mafieux et raciste d’Alger a déjà tenté de traverstir, et salir l’imagine de l’héroïne Kabyle, Lalla Fadhma N’soumer en confiant la réalisation d’un feuilleton, à coup de milliards de dinars à des Syriens. Le feuilleton tourné en Syrie, en langue arabe a été d’un échec sans précédent dans l’histoire du cinéma. Ce qui fait dire au Kabyles, sarcastiquement que c’est un film sur Fadham N’Souria, non pas Fadhma N’Soumer.
Amenay A