dimanche 6 février 2011

TIGRI N'HASSIBA LE CRI DE DETRESSE D'HASSIBA

TIWIZI TADUKLI TACEMLIT A LEQBAYEL AY IMAZIGHEN, MKUL ANDA TELLAM AIDEZ HASSIBA A VIVRE DONNEZ LUI CETTE CHANCE LA VIE N'A PAS DE PRIX FAITES TOURNER CETTE VIDEO S'IL VOUS PLAIT OBLIGEE DE FAIRE DES DYALISES 3 FOIS PAR SEMAINE,NOUS FAISONS TOUT NOTRE POSSIBLE POUR PAYER SA FACTURE HEBDOMAIRE QUI VARIE 750 ET MILLE EUROS, POUR QUE LE CENTRE DE DYALISE CONTINUE A L ACCUEILLIR CHAQUE MARDI JEUDI ET SAMEDI NOUS FAISONS UN APPEL AUX DONS POUR L AIDER JUSQU A SON OBTENTION DE L'AIDE MEDICALE DANS 3 MOIS TANEMMIRT N'WEN VIDEO REALISEE PAR MOULOUD AZZEDINE TRADUCTION PAR MEHDI AWEGHAR DE L'ASSOCIATION TACEMLIT : Hassiba se présente dans un premier temp : J'ai 26 ans, j'étais étudiante et je vivais en pleine forme. Tout allait bien malgré la malformation rénale qui nous touchait ma sœur et moi (Reins trop petits). L'état de santé de ma sœur s'est dégr...adé et entraina un AVC (Accident Vasculaire Cérébrale) qui l'a paralysée. Trainant d'hôpitaux en hôpitaux, avec notre Mère, pour ses séances de rééducation, son état s'améliora légèrement avec ces séances. Malgré nos faibles moyens, nous avons poursuivi ses séances de rééducation, et son état s'aggrava entrainant un deuxième AVC dû à une hypertension. Hospitalisé d'urgence, elle décèdera dans les bras de notre Mère. Très choquée par ce drame, j'ai eu, à mon tour, des complications entrainant une hypertension.Tout en poursuivant mes études, j'étais suivie à l'hôpital de Beni Messous pour ce problème de tension. Au fil du temp, ma santé s'est dégradée et le verdict fut sans appel, je devais commencer les séances de dialyse à l'hôpital de Tizi-Ouzou. Je faisais des dialyses péritonéales. Ils m'ont remis des poches (péritoines) que j'utilisais également à la maison. http://www.soins-infirmiers.com/dialy... Mon père était compatible pour me donner l'un de ses reins. Ayant été transfusée pour une forte anémie, ma formule d'hémoglobine est arrivée à 3/4, j'ai développé des anti corps rendant impossibles cette greffe. Avec ma Mère, nous avons entamé les démarches pour une prise en charge en France. Nous avons du, nous déplacer à maintes reprises sur Alger.De promesse en promesse, nous avons essuyé refus sur refus. Nous sommes passées devant la Commission Nationale qui refusa ma prise en charge en France, prétextant la cherté de la dialyse en France et des soins nécessitant le traitement des anti corps indispensable à une greffe. J'ai perdu espoir, ma Mère m'encouragea à continuer, moi étant résignée à attendre la mort à la maison. Ma Mère continua à se battre pour moi et me remonter sans cesse le moral : "Tu vas guérir, tu vas guérir !" Le village entier se mobilisa pour moi afin de m'obtenir un visa. J'ai eu mon visa, grâce au soutien et à l'aide précieuse de Massinissa SEBAI que Dieu le bénisse, (Président de l'Association AGIR). Il m'a accompagnée en France, j'ai trouvé des jeunes filles, Lynda et Dalila (de l'association TACEMLIT) qui m'appuient dans mes démarches. Maintenant je recherche des soutiens, des personnes qui m'aideront et aideront l'association (TACEMLIT) à me permettre d'être dialysée durant 3 mois, le temps d'avoir droit à l'aide médicale d'État pour être inscrite sur une liste qui me permettra Inch'allah d'avoir la greffe de rein.